Si vous vous demandez comment améliorer la qualité de vos applications, je vous invite à étudier attentivement les différentes méthodes dont je parlerai.
Je vois souvent des clients qui me parlent de la qualité des logiciels. Les solutions traditionnelles sont presque toujours les mêmes :
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- plus de tests unitaires
- demander aux développeurs de mieux tester à la main
Je vois aussi souvent les problèmes qui en résultent :
- les développeurs ne « prennent » pas le temps d’écrire des tests unitaires
- les tests manuels sont souvent « sauvegardés » car il est nécessaire d’entrer rapidement en production
La rédaction de tests unitaires est une pratique que je ne vois pas beaucoup chez mes clients. Je pense qu’il s’agit d’un problème de formation pour les développeurs, mais aussi d’un problème de formation des gestionnaires.
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Du côté des développeurs, j’entends souvent cela lorsque j’en parle :
- c’est de l’heure gaspillée
- je ne sais pas comment faire ça.
- Je n’ai pas le temps
- Des tests… Quoi ?
En ce qui concerne les gestionnaires, je constate également régulièrement qu’il y a un malentendu. Les tests unitaires sont souvent perçus comme une perte de temps.
J’observe régulièrement dans le cadre d’une formation ou d’une assistance technique auprès de mes clients. Cependant, les tests unitaires sont importants, mais ils ne sont qu’une partie des solutions possibles pour améliorer la qualité des logiciels.
Plan de l'article
Comment puis-je améliorer la qualité des logiciels ?
Pour savoir comment améliorer la qualité d’un logiciel, vous devez d’abord établir des critères de qualité. Ensuite, vous devez savoir comment mesurer la qualité qu’est-ce que le logiciel ? De bonne qualité ? Enfin, la question est la suivante.
Une fois les critères établis, des mesures devraient être prises pour les améliorer afin que nous puissions voir différentes méthodes orientées vers l’action.
Qu’est-ce qu’un logiciel de bonne qualité ?
Ce sont les critères que je vous conseille de définir (ils sont ISO 9126)
- Capacité fonctionnelle : le logiciel doit répondre aux spécifications et, surtout, résoudre le plus gros problème de l’utilisateur
- Fiabilité : le logiciel doit résister aux erreurs des utilisateurs ou aux services externes
- Facile à utiliser : l’utilisateur doit facilement s’y retrouver grâce aux éléments des interfaces (infobulle, icônes, étiquettes…)
- Performances
- Maintenabilité : Le code doit respecter les normes établies avec la documentation et la conception doit garantir que le logiciel contre des coûts inférieurs peuvent être maintenus.
Il existe probablement des dizaines d’autres critères, mais si vous parvenez à implémenter ces 5 critères, votre logiciel sera de meilleure qualité.
Comment mesurez-vous la qualité d’un logiciel ?
L’idée est simple : mettre en place des indicateurs objectifs pour vérifier les critères (dont j’ai parlé juste avant).
Une fois les indicateurs présents, il sera nécessaire de suivre régulièrement les progrès pour avoir une idée de la qualité (amélioration ou détérioration) du logiciel.
Par exemple, pour simplifier le suivi, vous pouvez utiliser un tableau Excel (je vais vous définir un modèle à la fin de l’article).
Voici quelques indicateurs que vous pouvez utiliser :
- Capacité fonctionnelle :
- Taux de couverture des caractéristiques
- Fiabilité :
- Nombre de tests réussis (tests unitaires, tests d’intégration, tests d’interface utilisateur…)
- Grade de codage
- Facilité d’utilisation :
- Commentaires des utilisateurs (formulaire de contact, téléphone, forum…)
- Tests sur des groupes de personnes
- Performances :
- Heure de démarrage
- Le temps de quelques longues actions
- La durée de tous les tests
- Maintenabilité :
- La complexité du code
- Conformité aux règles de codage et de conception
Pour surveiller régulièrement les indicateurs, il suffit de fixer un rendez-vous dans votre calendrier (par exemple toutes les deux semaines le lundi matin). Chaque fois, vous pouvez mettre à jour votre document de suivi pour savoir où vous vous trouvez et prendre des mesures.
Comment négocier sur la qualité ?
Pour chaque indicateur, vous pouvez prendre plusieurs mesures pour améliorer la qualité.
Voici quelques exemples :
Couverture des caractéristiques
Créez un compliance matrix : répertorie les fonctionnalités, vérifiez si elles sont implémentées et respectées.
Nombre de tests qui ont réussi
Tous les tests doivent réussir. Sinon, agissez pour corriger.
Grade de codage
Augmentez la couverture en écrivant de nouveaux tests.
Heure de démarrage
Ajoutez un indicateur de performance Windows pour mesurer le temps de certaines actions dans votre application.
Temps d’exécution des tests
Utilisez un serveur d’intégration continue qui démarre automatiquement les tests et active le stockage d’exécution.
La complexité du code
Analysez votre code (par exemple, Visual Studio) pour trouver des méthodes complexes.
Il existe, bien sûr, d’autres méthodes que vous pouvez déterminer en fonction des indicateurs et des critères. Il est nécessaire de se poser la question : comment améliorer tel ou tel indicateur.
Bref, j’espère que vous le principe comprend.
Télécharger le plan d’action
Pour vous aider, j’ai créé un plan d’action qui résume l’ensemble de la méthode.
Ce plan vous permet d’appliquer la méthode à votre situation et de prendre des mesures pour améliorer la qualité de votre logiciel document Excel. Ce plan d’action est également lié à une action.
Je vous invite donc à télécharger ces documents supplémentaires et à essayer la méthode.