Le partage d’un repas chaque dimanche ne relève pas toujours d’un choix individuel, mais d’un enchaînement de gestes transmis sur plusieurs générations. Certaines pratiques résistent à la disparition, alors que d’autres, considérées comme centrales il y a cinquante ans, tombent dans l’oubli en une décennie.
La transmission des habitudes familiales ne suit pas un schéma linéaire. Elle oscille entre persistance, …